MOUVEMENT DU CORPS DANS LE COMBAT
Les trois centres
Réflexion sur le mouvement du corps lors d’un combat.
Source de réflexion: Le livre Pour une vie réussie d’Arnaud Desjardins
Les trois cerveaux (où centre) de l’homme
Physique
Emotionnel
Mental (intellectuel)
On utilise ici le mot cerveau à propos de tout autre chose que la matière grise, Les trois centres où trois cerveaux dont il s'agit ici, on en communs leurs fonctionnement.
Ils reçoivent des informations et décide d’une réponse par un double mouvement de l’extérieur vers l’intérieur et de l’intérieur vers l’extérieur.
Le centre (cerveaux) Physique, peut être subdivisé en deux:
• Instinctif: Ce qui n’a pas besoin d’être appris
• Moteur: Ce qui a besoin d’être enseigné et appris.
En effet notre centre moteur peut être plus ou moins éduqué, plus ou moins perfectionné, par l’apprentissage de techniques de karaté, dans notre cas.
Le cerveaux intellectuel intervient au début de l’apprentissage, vient un moment où votre tête n’intervient plus.
Démonstration par une activité quotidienne
Vous êtes capable de conduire, débrayer, embrayer, rétrogradé sans réfléchir.
(N.B: Tout cela en conscience, présence à soi-même, vigilance, (sanchin), tout comme vous pourriez le faire en étant distrait).
Dans le karaté, le corps reçoit comme information le mouvement ou même l’intention de l’adversaire et décide immédiatement de la réponse.
Donc, ce cerveaux physique peut traiter directement les données sans passer par le cerveaux intellectuel (mental).
On peut parler d’intelligence du centre instinctif, et d’intelligence du centre moteur.
Le corps réagit rapidement sans passer par une quelconque réflexion, ce n'est pas un mouvement réflex, c'est le mouvement "juste" enregistrer par le corps lors des entrainements, il est beaucoup plus rapide que si il passait par la case réflexion.
En fait c’est tout le corps qui est concerné et qui traite les données et qui réponds par la technique.
La tradition situe le moteur du mouvement dans le hara et dans la colonne vertébrale.
Démonstration par un exemple concret:
Si dans une partie de ping-pong où le temps de réaction doit être extrêmement bref, c’est avec la tête qu’on devait réfléchir de quelle manière on va renvoyer la balle de notre adversaire, imaginez le résultat!